Faites preuve de professionnalisme, telle était la demande de l’ONCFV aux cinéastes nigérians et aux associations
Le directeur exécutif de l’Office national de censure des films et des vidéos (ONCFV), Alhaji Adedayo Thomas, a exhorté mardi les cinéastes, les associations et les guildes de production cinématographique à intensifier leurs efforts pour promouvoir le professionnalisme dans l’industrie, lors d’une session interactive des parties prenantes organisée par l’ONCFV à Lagos, au Nigéria.
Adedayo a déclaré que les associations et les guildes devaient s’efforcer de sensibiliser leurs membres pour qu’ils cessent de réduire les coûts au détriment du professionnalisme.
“Arrêtez de réduire les coûts au détriment du professionnalisme, je ne peux choisir que quelques associations qui se développent dans ce secteur, nous devrions tous nous impliquer pour faire avancer le secteur.
“Je suis heureux que l’ONCFV ait pu rendre vos associations, guildes et la fédération redoutables.
“Aucune association ne nous a écrit récemment pour nous dire qu’elle avait besoin d’une aide quelconque pour organiser ses événements, et ce parce que l’ONCFV a créé la plateforme qui vous permet d’être durables.
“Nous voulons que vous vous efforciez davantage d’être les vrais professionnels que vous êtes”, a-t-il plaidé.
M. Thomas a conseillé aux producteurs et aux réalisateurs de films de travailler en synergie avec les 19 associations et guildes enregistrées, en veillant à ce que les acteurs, les techniciens, les maquilleurs et tous les autres acteurs impliqués dans le processus de production cinématographique soient sélectionnés au sein des associations et guildes enregistrées.
Il a ajouté que cela renforcerait les guildes et les associations et que les professionnels de l’industrie qui ne se sont pas encore inscrits auprès d’associations professionnelles seraient incités à le faire.
“Je demande à tous les producteurs et réalisateurs de s’assurer que seuls des membres d’associations enregistrées sont engagés dans leurs films.
“Cela permettra à ceux qui se promènent de s’inscrire pendant que nous luttons contre les charlatans, et vos associations deviendront plus fortes.
“Cela ne peut se faire que par le biais de collaborations et d’un engagement constant.
“Cette industrie est comme un arbre avec des branches, la collaboration est la clé”, a-t-il lancé.
M. Thomas a indiqué aux parties prenantes que la conférence numérique annuelle du secteur se tiendrait du 14 au 16 novembre et a proposé d’honorer le défunt Peace Anyiam-Osigwe.
Il a indiqué que l’ONCFV avait reçu et censuré 541 films produits par l’industrie cinématographique au cours du deuxième trimestre, qualifiant cet exploit de louable.
Il a noté que la question d’une révision à la baisse des frais de censure pour les parties prenantes n’était pas réalisable, compte tenu de l’augmentation du coût des opérations.
Auparavant, M. Emeka Aduah, président de Producteurs et vendeurs de films et de vidéos au Nigéria (FVPMAN), a exhorté l’ONCFV à envisager la révision à la baisse des frais de censure pour les producteurs, compte tenu de la situation économique du pays.
Par ailleurs, M. Ikechukwu Okafor, membre de l’Association of Movie Producers (AMP), qui a soutenu la révision des frais de censure, a insisté que cela était nécessaire compte tenu des faibles revenus des producteurs indépendants.
M. Okafor a maintenu que cette catégorie d’individus ne distribue son contenu que sur YouTube et ne génère que des revenus minimes.
Pour sa part, M. Bolaji Amusan, président national de l’Association des praticiens des arts du théâtre et du cinéma du Nigeria (TAMPAN), a apprécié les efforts du directeur exécutif de l’ONCFV pour renforcer les différentes guildes et associations.
M. Amusan a appelé la direction de l’ONCFV à intensifier ses efforts pour faire avancer l’industrie en travaillant davantage avec les responsables des associations et des guildes.
M. Israel Eboh, président national de la National Association of Nigerian Theatre Arts Practitioners (NANTAP), a félicité M. Thomas pour ses bonnes intentions en faveur de l’avancement de l’industrie créative.
M. Eboh a ajouté que les membres des associations n’étaient pas assez proactifs, mais plutôt trop réactifs aux problèmes.
“Nous apprécions Alhaji Thomas pour le respect mutuel et la confiance dont il a fait preuve à notre égard. Je demande aux membres de la fédération d’être actifs sur les plateformes créées pour l’interaction.
“Ces plateformes nous permettent de collaborer. Je demande également que nous renforcions collectivement la fédération et les associations individuelles, grâce à vos contributions louables, et que nous trouvions un terrain d’entente qui serait bénéfique pour nous tous”, a-t-il déclaré.
M. Leo Owoseebi, secrétaire national de la Creative Designers Guild of Nigeria (CDGN), a invité les producteurs et les réalisateurs de films à collaborer avec les membres de la CDGN dans leurs efforts pour produire des films de qualité.
M. Israel Eboh, président national de la National Association of Nigerian Theatre Arts Practitioners (NANTAP), a félicité M. Thomas pour ses bonnes intentions en faveur de l’avancement de l’industrie créative.
M. Eboh a souligné que les membres des associations n’étaient pas assez proactifs, mais plutôt trop réactifs aux problèmes.
“Nous apprécions Alhaji Thomas pour le respect mutuel et la confiance dont il a fait preuve à notre égard. Je demande aux membres de la fédération d’être actifs sur les plateformes créées pour l’interaction.
“La plateforme nous permet de collaborer. J’appelle également à ce que nous renforcions collectivement la fédération et les associations individuelles, grâce à vos contributions louables et à ce que nous trouvions un terrain d’entente qui serait bénéfique pour nous tous”, a-t-il appelé.
M. Leo Owoseebi, secrétaire national de la Creative Designers Guild of Nigeria (CDGN), a invité les producteurs et les réalisateurs de films à collaborer avec les membres de la CDGN dans leurs efforts pour produire des films de qualité.
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