Le ministère de la Santé de l’État de Lagos a annoncé un partenariat avec le Fonds des Nations unies pour la population dans le domaine de la lutte contre le cancer.
Le ministère l’a révélé dans un communiqué de presse signé par le directeur des affaires publiques, M. Tunbosun Ogunbanwo.
D’après le ministère, ce partenariat vise à garantir que les services de dépistage du cancer dans l’État soient plus accessibles et disponibles dans les établissements de santé publique.
Dans le cadre de ce partenariat, il a parrainé un programme de formation de huit jours pour 200 agents sanitaires, sur le dépistage du cancer du sein et du col de l’utérus.
“Pas moins de 200 agents de santé issus de 60 établissements de santé publique, dont l’hôpital universitaire de l’État (LASUTH), 15 hôpitaux généraux et 44 centres de soins de santé primaires, ont été formés pour assurer le dépistage du cancer du sein et du col de l’utérus dans leurs établissements.
“Le programme de formation de huit jours qui s’est terminé hier a été parrainé par le gouvernement de l’État de Lagos en collaboration avec le Fonds des Nations Unies pour la population afin d’améliorer l’accès aux services de dépistage du cancer dans tous les établissements de santé de l’État”, indique le communiqué.
S’exprimant lors de la clôture de l’atelier de renforcement des capacités, le secrétaire permanent du ministère de la Santé, Dr Olusegun Ogboye, a expliqué que cet atelier s’inscrivait dans le cadre d’un partenariat plus large permettant au ministère de tirer parti des ressources disponibles pour améliorer l’accès aux services de dépistage du cancer dans l’État.
Le secrétaire permanent était représenté par le directeur du contrôle des maladies au ministère de la Santé de l’État de Lagos, Dr Rotimi Agbolagorite.
Selon ses propres mots : “Les efforts du ministère pour rendre les services de dépistage du cancer plus accessibles et disponibles dans tous les établissements de santé de l’État ont été renforcés par le soutien récent de l’un de nos partenaires de développement, l’UNFPA.”